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LES ENTRETIENS
Viviana Paques et ses informateurs
LA SUBJECTIVITE DE CETTE PAGE PEUT PARAITRE EXCESSIVE. DESOLE. NOUS PRATIQUONS PLUSIEURS LANGUES MAIS PAS LA LANGUE DE BOIS.
Là où elle est, Viviana Paques n'en a plus rien à cirer.
Je l'entends encore me dire, partant de ses collègues enseignants de l’université de Strasbourg ou de ses collègues "spécialistes des Gnawa" :
«- Jacques, ce sont tous des ... »
Cela avec un mouvement du vissage et un regard qui en disaient plus que les mots qu'elle retenaient. Rares étaient ceux qui échappaient à sa vindicte.
Il ne faut donc pas s'étonner d'entendre cela.
Qui est Jean-François Clément ?
Un agrégé de philosophie. Bon.
Comment l’ai-je connu ?
A Essaouira. Il intervenait n septembre 2013, dans le cadre du colloque « Anthropologie du Maroc et du Maghreb ».
Ce colloque était organisé par le centre Jacques Berque, avec la collaboration de l’Association Essaouira Mogador, de l’Institut Français du Maroc et de l’agence universitaire de la Francophonie.
Il parle bien. Il manifeste la plus grande partie des formes visibles de l’intelligence. C’est un discoureur chevronné. Bon.
Beaucoup de mes interlocuteurs en parlent avec respect. Bon.
Là où elle est, Viviana Paques n'en a plus rien à cirer. Mais je vais « nous » faire plaisir et apporter de l’eau à son moulin. Pour le sport. Et le sport que je vais pratiquer dans les lignes qui suivent, ce n’est pas du croquet. Mais la choule, le jeu traditionnel picard où, prétend-on, tous les coups sont permis.
Je l'entends encore me dire, partant de nos collègues de l’université de Strasbourg ou de ses collègues français et marocains « spécialistes des Gnawa » : ce sont tous des cons. Rares étaient ceux qui échappaient à la faux dévastatrice.
J’ai vérifié sont jugement lorsqu’en 2012, j’ai enregistré un entretien avec Jean-François Clément.
Qui est cet homme ? Un agrégé de philosophie. Bon.
Comment l’ai-je connu ? A Essaouira. Il intervenait n septembre 2013, dans le cadre du colloque « Anthropologie du Maroc et du Maghreb ».
Ce colloque était organisé par le centre Jacques Berque, avec la collaboration de l’Association Essaouira Mogador, de l’Institut Français du Maroc et de l’agence universitaire de la Francophonie.
Il parle bien. Il manifeste la plus grande partie des formes visibles de l’intelligence. C’est un discoureur chevronné. Bon.
Beaucoup de mes interlocuteurs en parlent avec respect. Bon.
Trois fois « bon ». Pourquoi alors, laissez planer un doute sur la possibilité qu’il puisse mériter le jugement sévère et sans mesure de Viviana Paques ?
Pour cela.
(Paragraphe en cours d'écriture...)
Là où elle est, Viviana Paques n'en a plus rien à cirer. Mais je vais « nous » faire plaisir et apporter de l’eau à son moulin. Pour le sport. Et le sport que je vais pratiquer dans les lignes qui suivent, ce n’est pas du croquet. Mais la choule, le jeu traditionnel picard où, prétend-on, tous les coups sont permis.
Je l'entends encore me dire, partant de nos collègues de l’université de Strasbourg ou de ses collègues français et marocains « spécialistes des Gnawa » : ce sont tous des cons. Rares étaient ceux qui échappaient à la faux dévastatrice.
J’ai vérifié sont jugement lorsqu’en 2012, j’ai enregistré un entretien avec Jean-François Clément.
Qui est cet homme ? Un agrégé de philosophie. Bon.
Comment l’ai-je connu ? A Essaouira. Il intervenait n septembre 2013, dans le cadre du colloque « Anthropologie du Maroc et du Maghreb ».
Ce colloque était organisé par le centre Jacques Berque, avec la collaboration de l’Association Essaouira Mogador, de l’Institut Français du Maroc et de l’agence universitaire de la Francophonie.
Il parle bien. Il manifeste la plus grande partie des formes visibles de l’intelligence. C’est un discoureur chevronné. Bon.
Beaucoup de mes interlocuteurs en parlent avec respect. Bon.
Trois fois « bon ». Pourquoi alors, laissez planer un doute sur la possibilité qu’il puisse mériter le jugement sévère et sans mesure de Viviana Paques ?
Pour cela.
