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PHOTOTHEQUE
La maison de l'Ayachi
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El Ayachi pose avec un guembri bien qu’il ne se considère pas comme
un maâlem mais un erqsou.
« Il faut un erqsou, dit-il, pour la derdeba ! C’est lui qui ouvre la rahba.
C’est lui aussi qui veille à l’enchaînement des couleurs des mlouk.
Il danse aussi et, si le maâlem oublie un chant, il le lui rappelle. ».
La fille aînée d’El Ayachi et de Mina, qui endosse le rôle de moqaddema
après le décès de sa mère.
Un grand moment dans la vie de la famille d’El Ayachi : la circoncision du fils Mohammed. Mina, la moqaddema, la voyante-thérapeute, est parée comme
pour un mariage. À sa droite, Milouda, sa fille ainée qui prendra sa suite dans
la confrérie.
El Ayachi entouré de sa fille et de ses nièces. En 1969, personne ne possède
d’appareil photographique dans la famille d’El Ayachi. Aussi, chacun souhaite se faire photographier
Le premier sacrifice que font les Gnawa, c’est celui du bouc. Dès qu’ils s’installent pour une fête, ils l’égorgent. Après le sacrifice, la moqaddema, voilée de blanc,
danse seule devant les musiciens et la confrérie.
Viviana Pâques précise : « Le possédé est un dressé, un mort-vivant. Ce n’est plus lui qui danse. C’est l’énergie qui est en lui qui s’exprime par la danse. »